On est plutôt sur une concentration de l'ordre de presque 70%. Les 50% de foncier, ce sont les 13% qui ont plus de 5 logements en location. Et ça change quand même considérablement la donne sur la politique de risque.
Mais je suis d'accord qu'il faille des logiques d'offres de logements plus que de contraintes juridiques (sans toutefois nier la protection juridique de la partie faible au contrat de location, càd le locataire). Mais à ces.logiques s'additionnent aussi celle de la lutte climatique et la prise en compte de bétonnisation des espaces et leurs conséquences.
D'autres éléments sont aussi à prendre en compte, notamment la sous-occupation des logements, vrai sujet toujours soigneusement évité par les politiques.
Yop, courage, moi j'ai jamais eu envie alors ça change pas grande chose !