barberousse

joined 2 years ago
[–] [email protected] 3 points 2 years ago

Cool, merci 😀

[–] [email protected] 5 points 2 years ago (1 children)

To be charming as a guy, consider these tips:

  1. Good Hygiene: Maintain proper personal hygiene, including daily showers and dental care.

  2. Active Listening: Pay attention when people talk to you, ask questions, and show genuine interest in their thoughts and feelings.

  3. Body Language: Be aware of your body language and maintain open, approachable posture.

  4. Socialize: Engage in social activities, join clubs, attend events, and meet new people.

  5. Flirting: Practice light-hearted banter and conversation skills with everyone, not just those you're interested in romantically.

  6. Respect Boundaries: Avoid making anyone feel uncomfortable by respecting their personal space and boundaries.

  7. Be Confident: Confidence is attractive, but don't come across as arrogant.

  8. Compliments: Give sincere compliments when appropriate, but don't overdo it.

  9. Empathy: Show empathy and understanding towards others' perspectives and experiences.

  10. Be a Good Listener: Remember details about people's lives and interests, and use this information in future conversations.

  11. Take Initiative: Don't be afraid to initiate conversations or ask someone out, but do so respectfully.

  12. Stay Positive: Maintain a positive attitude and avoid negative or offensive topics.

Remember, charm comes from being genuine and considerate, so be yourself while striving to make meaningful connections with others.

[–] [email protected] 3 points 2 years ago

Merci ! Je l'ai édité.

[–] [email protected] 9 points 2 years ago (1 children)

N'empêche que ça pourrait réduire la facture d’épicerie pour les familles, réduire la consommation des jeunes de malbouffe et offrir des produits locaux. C'est une mesure qui a des avantages sur plusieurs points. C'est un investissement pour les familles et la santé.

[–] [email protected] 2 points 2 years ago* (last edited 2 years ago)

Exactement, ça prend des voies réservées au moins.

Le REM est peut-être lent, mais il ne reste pas coincé dans le traffic à l'heure de pointe. De plus, construire en hauteur semble moins couteux qu'une construction sous terre.

Par contre, j'ajouterai qu'il faudrait aussi repenser les déplacements. C'est plus énergivore devoir se déplacer au centre-ville pour le travail, que de travailler dans la ville ou le quartier qu'on habite.

[–] [email protected] 1 points 2 years ago

Effectivement, et c'est ça qui me fait peur. C'est tellement rendu un shitshow aux États-Unis. Je trouvais déjà les Républicains tellement débiles avant Trump. Maintenant, c'est juste insane le niveau de propos complétement sautés. C'est le jeu de celui qui dit le plus de chose décallé de la réalité et oppressant pour mousser leur base.

 

Pierre-Olivier Pineau, spécialiste de l'énergie et professeur à HEC Montréal, a démissionné du Comité consultatif sur les changements climatiques mis en place par le gouvernement Legault. Il a évoqué des préoccupations liées à la censure, au manque de vision et de transparence, aux programmes inefficaces et à l'absence de remise en question des habitudes de consommation d'énergie des résidents québécois. Pineau souhaitait également que le comité examine les dépenses du Fonds vert, désormais appelé Fonds d’électrification et de changements climatiques (FECC), et a remis en question l'approche du gouvernement concernant l'achat de réductions d'émissions. Le départ de Pineau marque la quatrième fois en deux ans qu'un conseiller quitte cette organisation scientifique.

[–] [email protected] 4 points 2 years ago

Yep, I can't vote because I have a VPN.

 

Paul Chiasson Archives La Presse canadienne Un réseau de surface est susceptible d’offrir des temps de parcours avantageux et un meilleur confort aux passagers, ajoute Jean-François Lefebvre. Jeanne Corriveau 15 h 49

Transports / Urbanisme

Des experts, appuyés par un groupe citoyen, suggèrent de doter l’est de Montréal d’un réseau de tramway et d’améliorer le service de trains de banlieue vers Laval et la couronne nord.

Cette proposition, dévoilée mardi, aurait l’avantage d’offrir un service de transport efficace à un bien moindre coût que le Projet de transport structurant (PSE) en souterrain — autrefois connu sous le nom de REM de l’Est — avancé par l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) au coût de 36 milliards de dollars, soulignent-ils.

La proposition présentée mardi en conférence de presse est le fruit d’une collaboration entre plusieurs experts, parmi lesquels Jean-François Lefebvre, chargé de cours au département d’études urbaines et touristiques de l’UQAM, et Denis Allard, président du Fonds mondial du patrimoine ferroviaire, avec l’appui du Collectif en environnement Mercier-Est (CEM-E).

Le projet suggère notamment l’implantation d’un réseau de tramway de surface de 37,4 kilomètres en forme de fer à cheval qui relierait le collège Marie-Victorin à la gare de Pointe-aux-Trembles, dans l’est de l’île de Montréal.

Le coût de ce réseau, qui pourrait être doté de 53 stations, est estimé à environ 4 milliards de dollars, contre 22,8 milliards pour le PSE de l’ARTM en souterrain pour le même territoire, avancent les chercheurs.

À ce réseau initial pourrait s’ajouter un nouveau service de train de banlieue, celui de Laval-Est sur 21 kilomètres. Cette nouvelle ligne partirait de Mascouche pour se rendre à Terrebonne, avant de desservir le quartier Saint-François, à Laval, et se connecter au SRB Pie-IX. De son côté, le service de l’actuel train de l’Est pourrait être modifié pour s’étendre jusqu’à Le Gardeur, L’Assomption et L’Épiphanie. Photo: Rapport PSE Le train de Laval-Est, connecté au métro, au SRB et au tram de l’Est

Le coût total de ces trois volets pourrait atteindre 5 milliards de dollars, indique-t-on. Mandat trop restreint

Le CEM-E estime que l’ARTM s’est fait imposer par Québec un mandat trop restreint qui ne lui a pas permis d’étudier d’autres scénarios que le train automatisé utilisé par CDPQ Infra pour le Réseau express métropolitain (REM). Il réclame donc que l’organisme de transport puisse évaluer différents modes. « Avant de dépenser des dizaines de milliards de dollars, il faut s’assurer qu’on dépense l’argent au bon endroit et de la bonne façon », estime Raymond Moquin, président du Collectif.

À ce sujet, l’ARTM indique avoir écrit au ministère des Transports et de la Mobilité durable le 14 août dernier afin de demander que la portée de son mandat soit élargie, ce qui lui permettrait d’évaluer différents modes de transport pour l’Est. « Les discussions se poursuivent », a indiqué Simon Charbonneau, directeur des communications de l’ARTM.

Si l’ARTM devait étudier l’option du tramway, il pourrait s’agir d’une solution complémentaire à un train léger, a-t-il précisé.

Reste que pour les experts qui prônent l’option du tramway, il s’agit là de la solution la plus appropriée pour l’est de Montréal. « Chaque dollar investi dans le réseau de tramways et trains-trams permet d’aménager dix fois plus de kilomètres de lignes et jusqu’à 17 fois plus de stations qu’un métro ou un métro automatique léger », soulignent les auteurs du rapport rendu public mardi.

À titre de comparaison, le prolongement de la ligne bleue du métro avec ses cinq stations coûtera 6,5 milliards de dollars alors qu’avec le même montant, il serait possible de réaliser un réseau de surface de 58 kilomètres et 84 stations. Temps de parcours comparés

Jean-François Lefebvre souligne que son équipe a réalisé une quarantaine de simulations pour l’Est, Montréal-Nord et Rivière-des-Prairies afin de comparer la performance du tramway avec celle d’autres modes. Ainsi, les chercheurs ont conclu, le tramway réduit significativement le temps de parcours comparé à l’autobus et il est plus efficace que le REM 9 fois sur 10. « On estime qu’on pourrait aller à 37 km/h dans un réseau de surface, ce qui est à peu près équivalent à ce qui est proposé par la Caisse [pour son REM] », a-t-il expliqué.

Un réseau de surface est avantageux car le nombre de stations est plus important, souligne pour sa part Daniel Chartier, vice-président du CEM-E. « C’est moins la vitesse de pointe qui compte que le temps global des déplacements porte-à-porte, entre le point d’origine et la destination. »

L’aspect du confort des passagers n’est pas à négliger, signale par ailleurs Jean-François Lefebvre. « Avec le REM, on parle vraiment d’une classe sardine avec 15 % des usagers qui seraient assis en période de pointe alors qu’avec le tram, on arrive à 45 % de places assises », a-t-il dit.

Il y a dix jours, la mairesse Valérie Plante avait accueilli avec peu d’enthousiasme l’idée d’un tramway pour remplacer le PSE : « J’aime les tramways, notre équipe aime les tramways. Mais il ne faut pas oublier que c’est un mode de transport plus lent. Ça remplit d’autres fonctions », avait-elle déclaré.

 

Le gouvernement du Canada diffuse un avertissement à l'intention des personnes 2ELGBTQI+ qui comptent se rendre ou qui voyagent actuellement aux États-Unis contre les politiques adoptées par certains États sur l'orientation sexuelle.

"Certains États ont adopté des lois et des politiques susceptibles d'affecter les personnes 2ELGBTQI+. Vérifiez les lois locales et celles de l'État concerné", avertit Affaires mondiales Canada dans une modification mise en ligne mardi matin sur son site Internet destiné aux Canadiens qui voyagent aux États-Unis.

Cette mise en garde du gouvernement canadien a beaucoup attiré l'attention dans la mesure où ce genre d'avertissement est en général émis pour des voyages dans des pays comme la Russie, l'Égypte ou encore le Mexique, où des lois et des pratiques restrictives par rapport à la diversité des genres et les membres des minorités LGBTQ+ sont en vigueur.

En novembre 2022, notamment, la Chambre haute du Parlement de Russie a adopté à l'unanimité un projet de loi qui restreint de façon importante les activités faisant la promotion de la communauté LGBTQ+ dans le pays. En 2013, une loi avait aussi été adoptée afin d'interdire tout ce qui, aux yeux des autorités, représentait de la "propagande de relations sexuelles non traditionnelles" à des personnes mineures. Les reculs se multiplient

Or, les politiques hostiles aux personnes LGBTQ+ se sont aussi multipliées ces derniers mois aux États-Unis sous l'effet du vent de conservatisme qui souffle sur le pays.

En juin dernier, la Cour suprême des États-Unis a aboli les politiques de discrimination positive dans les universités pour favoriser l’inclusion notamment des personnes LGBTQ+. Presque le même jour, le plus haut tribunal du pays, dominé par des juges conservateurs, a donné raison à une créatrice de sites web qui refusait d’en concevoir pour des mariages entre personnes de même sexe. Le gouverneur républicain de Floride Ron DeSantis.

Des politiques défavorables ou carrément discriminatoires envers la diversité des genres ont aussi été adoptées dans plusieurs États, notamment en Floride où on interdit désormais tout enseignement portant sur l'orientation sexuelle ou sur l'identité de genre jusqu’en 12e année.

La matière portant sur les questions LGBTQ+ ne pourra donc pas être abordée par les enseignants, sauf si des questions surviennent de manière spontanée ou s'il s'agit d'un cours sur la santé reproductive, dont les parents peuvent retirer leurs enfants.

Plusieurs événements violents contre des communautés LGBTQ+ soulèvent aussi des questions sur la sécurité de ces communautés aux États-Unis. En novembre 2022, un homme de 22 ans a tué 5 personnes et en a blessé 18 autres en ouvrant le feu dans une discothèque LGBTQ+ de Colorado Springs.

Le 12 juin 2016, un Américain d'origine afghane, Omar Mateen, avait tué 49 personnes et en avait blessé une cinquantaine d'autres dans un bar LGBTQ+ à Orlando, en Floride.

En 2018, le rapport annuel de l'association de défense de la communauté LGBTQ+ New York City Anti-Violence Project révélait par ailleurs que les homicides et violences commis contre des membres de la communauté avaient augmenté de 86 % depuis l'arrivée de Donald Trump au pouvoir, en janvier 2017. Des échos jusqu'au Canada

Ces politiques qui gagnent du terrain dans le sud des États-Unis forcent de plus en plus les politiciens canadiens à se positionner par rapport à ces enjeux.

C’est notamment le cas des membres du Parti conservateur du Canada, dont le congrès doit avoir lieu la semaine prochaine à Québec. Plusieurs résolutions touchant les transitions de genre des mineurs sont en effet mises de l’avant dans les rangs du parti, où l'on se questionne sur la place des parents et de l’école dans la façon d’aborder cette thématique avec les enfants.

Une proposition soumise aux instances du parti suggère qu'un gouvernement conservateur interdise "les interventions médicales ou chirurgicales qui altèrent la vie" pour les personnes mineures qui souhaitent faire la transition de genre.

Tout récemment, le chef du Parti conservateur, Pierre Poilievre, a déclaré que les écoles devraient s'en tenir à l'enseignement des notions de base et laisser aux parents le soin d'aborder les questions relatives à l’identité de genre ou d’orientation sexuelle avec leurs enfants.

Pierre Poilievre affirme s'en remettre aux provinces qui sont responsables de l'éducation au pays.

Le Nouveau-Brunswick est en effet plongé depuis des mois dans un débat sur la controversée politique 713 qui exige que les parents donnent leur consentement si un élève de moins de 16 ans décide d'utiliser un nom ou des pronoms différents pour se définir.

Une politique qui avait fait dire à Justin Trudeau que "les enfants transgenres du Nouveau-Brunswick se font dire qu'ils n'ont pas le droit d'être eux-mêmes, qu'ils doivent demander la permission".

Le chef conservateur avait alors accusé le premier ministre Trudeau de s’ingérer dans des décisions qui "devraient relever des provinces et des parents".

 

Annick Brazeau

L’autrice est présidente du Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale.

29 août 2023

Idées

En un mois au Québec, deux femmes et trois enfants ont perdu la vie aux mains d’un conjoint et d’un père violent et contrôlant, qui s’est lui-même suicidé ou a tenté de le faire. Comme toujours, nous sommes bouleversées face à ces féminicides et à ces infanticides à répétition, et envoyons nos pensées solidaires aux familles des victimes.

Dans ces scénarios effroyables, qui se répètent à un rythme et avec des similitudes saisissantes, on constate très souvent que personne n’avait vu de signe précurseur. Pourtant, comme l’indique la criminologue britannique Jane Monckton-Smith, les féminicides sont parmi les « meurtres les plus prévisibles », et suivent presque toujours une même trajectoire.

Aujourd’hui, le Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale lance un cri du coeur aux intervenantes et intervenants et aux organisations qui gravitent autour des victimes ou des auteurs de violence conjugale. Il est temps de changer notre regard sur la violence conjugale pour ne plus la voir comme une succession d’incidents isolés, essentiellement de nature physique, qui n’auraient pas de liens entre eux. La violence conjugale se manifeste toujours par une série de gestes et d’attitudes contrôlants, continus et cumulatifs. En omettant de voir le portrait d’ensemble, on passe à côté de la possibilité de protéger les femmes et les enfants qui en sont victimes.

Selon une étude américaine de 2003, dans le tiers des cas, l’homicide ou la tentative d’homicide conjugal constituait le premier événement de violence physique. Malgré l’absence de violence physique, il y a presque toujours des signaux d’alarme qui indiquent la présence de contrôle coercitif et annoncent une escalade. Y a-t-il présence de contrôle coercitif ?

Selon une étude britannique de 2017, le contrôle coercitif était présent dans 92 % des homicides conjugaux. Investiguer sur la présence et l’ampleur du contrôle dans une relation permet de prévenir une escalade de violence qui peut s’avérer fatale, notamment en cas de rupture. La victime a-t-elle été isolée de son réseau social ? Se sent-elle contrôlée dans ses activités quotidiennes ? Est-elle surveillée ? Est-elle harcelée ? Reçoit-elle des appels incessants ? Est-elle menacée ? Craint-elle pour sa sécurité ou celle de ses proches ?

Ces éléments sont autant d’exemples du contrôle coercitif qui peut s’exercer pendant ou après la relation, et qui doit alerter les intervenantes et intervenants. C’est en questionnant la victime sur sa relation et sur le contexte de sa demande d’aide, lorsque c’est le cas, qu’on sera en mesure d’avoir un portrait global de la situation et donc de détecter le niveau de risque. Il est crucial de prendre au sérieux les craintes de la victime ou de son entourage et de réagir avec force avant que le pire ne se produise. Y a-t-il une perte d’emprise ?

La perte d’emprise sur la victime est très souvent le prélude à une escalade de violence. La séparation récente, l’arrivée d’un nouveau conjoint ou encore la mésentente au sujet de la garde des enfants sont autant de facteurs qui font augmenter le risque de passage à l’acte. C’est lorsqu’il sent que le contrôle qu’il exerçait n’a plus de prise sur sa victime que l’agresseur peut chercher à la détruire, elle ou les enfants. Comment protéger les victimes avant le pire ?

Détecter le contrôle coercitif et être conscient des conséquences que cela pourrait entraîner en cas de perte d’emprise permet aux intervenantes et intervenants d’avoir une longueur d’avance pour tisser un filet de sécurité autour d’une victime et de ses enfants. La détection précoce des signaux d’alerte est cruciale pour mobiliser les ressources spécialisées en violence conjugale, pour protéger les femmes et les enfants, mais aussi pour prendre en charge la personne suspecte et déployer les mesures nécessaires.

Qu’il ou elle fasse partie de la police, des services de libération conditionnelle, de la DPJ ou autres services sociaux, l’intervenant ne peut répondre seul à l’ensemble des besoins. Mais en étant formés et outillés sur la notion de contrôle coercitif, les professionnels peuvent être un maillon déterminant pour lever un drapeau rouge et, éventuellement, déclencher une cellule d’action concertée (aussi appelée cellule d’intervention rapide), qui permet de mobiliser tout un réseau d’acteurs afin de prévenir le pire et de mettre en sécurité une femme et ses enfants. Il est également possible de se tourner vers les maisons d’aide et d’hébergement, qui sont des alliées et des ressources incontournables pour élaborer des scénarios de protection et protéger les victimes.

Quand on est victime de violence conjugale, demander de l’aide est très exigeant. Collectivement, nous devons être à la hauteur du courage de ces femmes.

[–] [email protected] 4 points 2 years ago

La jeunesse emmerde les bagnoles !

[–] [email protected] 6 points 2 years ago (1 children)

J'allais écrire de quoi, mais je ne perdrai pas mon temps avec MBC. Au vidange !

Ok bye !

 

J'aimerai me reconstruire un réseau social.

Je suis dans la mi-trentaine. Ça fait un an que je vie sur l'île de Montréal. Je suis dans Villeray, mais métro Fabre. J'étais sur la rive-sud avant.

J'ai jamais eu un grand groupe d'amis, mais depuis que j'ai déménagé, c'est difficile de garder contact. Avec le temps, on dirait que c'est plus difficile de rencontrer des gens.

Je préfère avoir un lieu où je peux aller chiller, pis jaser avec des gens, sans forcément avoir des obligations d'entretenir une amitié. Dans le passé, j'adorais chiller dans une asso ou un café étudiant. Dernièrement, c'était dans un parc ou un café, que je connaissais des habitués et que je savais que je pouvais m'arrêter pour jaser. Des fois juste 5min ou 1h, pis parfois passer la soirée là.

On m'aussi parler de communauté virtuel, ex. Sur Discord, mais j'en connais pas vraiment. Il y a des IRC, mais ça semble un peu mort.

Ma question: Est-ce que vous avez des recommandations de lieux physique ou virtuel où on peut rencontrer des gens ?

[–] [email protected] 48 points 2 years ago

Long time Brave user here. This made me uninstall Brave and move to Firefox. Thank you !

[–] [email protected] 1 points 2 years ago

Mauréal//Montréal Atawa//Ottawa

C'est drôle comment les gens prononcent le nom des villes. C'est souvent les locaux qui ont une façon particulière de prononcer le nom de leur ville/village

[–] [email protected] 1 points 2 years ago (1 children)

Les routes sont faites pour que les gens roulent vite. Il y a pleins de moyen d'atténuer la vitesse, mais ça prend de l'aménagement. C'est pas en changeant un chiffre sur un panneau que le monde vont ralentir. Si les gens conduisent mal, c'est que les routes sont mal faites.

 

Hey, fellow Lemmy users!

As I enjoy the app's features and lively discussions, I'd like to raise a suggestion that I believe could enhance our browsing experience even further.

Currently, Connect employs infinite scrolling, which automatically loads new content as we reach the end of the current page. While this offers a seamless browsing experience, it can also lead to some challenges. Some of us have noticed that browsing for an extended period might become overwhelming, especially when there's a significant amount of content to scroll through. Additionally, it might impact performance and consume excessive data.

Therefore, I'd like to propose the implementation of a limit on infinite scrolling. Here's how it could work:

  1. Introduce Pagination: Instead of an endless scroll, we could have the option to load content in paginated blocks. This way, we can navigate through pages, making it easier to keep track of the content we've already seen.

  2. User-Defined Scrolling Limit: Allowing users to customize the number of posts loaded per scroll or setting a maximum limit on the number of posts loaded would give us greater control over our browsing experience.

  3. Lazy Loading: Implementing a lazy loading mechanism could be an excellent solution, where additional content is fetched only when we scroll near the end of the page, thus reducing initial load time and improving performance.

By adding these features, we can strike a perfect balance between fluid browsing and control over content consumption. It will enhance user satisfaction, especially for those like me who struggle with infinite scrolling and time managing.

What do you all think about this proposal? Your feedback and opinions matter! Let's discuss this idea together.

Looking forward to hearing your thoughts

 

Fin d’une autre journée de fouilles avec une grosse équipe sur les bords de la rivière Washicoutai, sur la Basse-Côte-Nord. Un appel au téléphone satellite pour prendre des nouvelles. « Roland, on trouve plein de poteries au coin de Sherbrooke et Peel, faut que tu viennes voir ça à ton retour ! » Quelques semaines plus tard, je rejoignais l’équipe de la firme Ethnoscop en plein centre-ville de Montréal, dans un chantier au beau milieu de l’une des intersections les plus achalandées de la métropole.

ROLAND TREMBLAY

ARCHÉOLOGUE

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