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https://denmarkification.com/#proca_Petition

a réponse du berger à la bergère. Une pétition danoise a été lancée pour que le royaume du Danemark achète l'État de Californie. Cette initiative fait suite à la volonté de Donald Trump de prendre le contrôle du Groenland. « Vous est-il déjà arrivé de regarder une carte et de vous dire : “Vous savez de quoi le Danemark a besoin ? Plus de soleil, de palmiers et de patins à roulettes”, interroge la pétition avec humour. Eh bien, nous avons une occasion unique de faire de ce rêve une réalité. » Ainsi, Los Angeles pourrait être rebaptisée Løs Ångeles, et Disneyland sera renommé Hans Christian Andersenland en l'honneur du célèbre auteur de contes de fées. L'engouement est au rendez-vous puisque, ce samedi 15 février, plus de 256 000 des 500 000 signatures visées ont été recueillies. Pragmatiques, les fondateurs de la pétition ont déjà pensé au budget nécessaire pour y parvenir. Celui-ci est estimé à 1 000 milliards de dollars. Ils proposent donc de lancer un financement participatif et demandent à chaque Danois d'investir 200 000 couronnes (soit environ 26 800 euros). Les cadres de Lego comme négociateurs

« Il est dans l'intérêt national de promouvoir l'extraordinaire héritage de notre nation, de sorte que la Californie deviendra le Nouveau Danemark », ajoutent-ils avec humour. Face au président américain, les meilleurs négociateurs danois seront envoyés pour réaliser ce deal, à savoir… les cadres de Lego. Ils assurent même que « Donald Trump [n'étant] pas vraiment le plus grand fan de la Californie », celui-ci pourrait plier facilement. « Nous sommes presque sûrs qu'il serait prêt à s'en séparer pour un bon prix. Et nous lui offrirons même des pâtisseries danoises à vie pour adoucir l'affaire », est-il écrit.

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C'est une réussite, plus de productivité, meilleure santé mentale...

Je pense ne pas trop m'avancer en disant qu'on veut la même chose.

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Article incomplet, désolé -_-

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Pour le chef de l’État rwandais Paul Kagame, le président sud-africain Cyril Ramaphosa et des officiels sud-africains « tordent la réalité », « lancent des attaques délibérées » et « mentent ». Le président rwandais a haussé le ton face aux remarques de l’Afrique du Sud au sujet de la crise dans l’est de la République démocratique du Congo, où le groupe armé M23 et leurs alliés des forces rwandaises ont pris position dans de nombreux quartiers de la ville de Goma.

Des remarques fortes de Paul Kagame, prononcées mercredi 29 janvier, après un sommet virtuel de la Communauté d'Afrique de l'Est (EAC), organisé par le président kényan William Ruto depuis le Caire. Le président congolais Félix Tshisekedi n'y a pas participé.

Les présidents rwandais Paul Kagame et sud-africain Cyril Ramaphosa ont beau se parler deux fois au téléphone depuis le début de la semaine, les relations diplomatiques entre le Rwanda et l'Afrique du Sud semblent toujours aussi tendues.

Dans un tweet publié mercredi soir, Cyril Ramaphosa est notamment revenu sur la mort de 13 soldats sud-africains membres de la force régional d'Afrique australe (SAMIRDC) en RDC. Il attribue leur mort « à une escalade de la violence entre le groupe rebelle M23 et la milice des forces de défense rwandaises, engagées contre l'armée congolaise (FARDC) ».

La terminologie a exaspéré Paul Kagame : « Les forces de défenses rwandaises ne sont pas une milice, c'est une armée », a-t-il répondu sur X. Et de poursuivre : « Ce n'est pas le M23 qui a tué ces soldats sud-africains, mais les FARDC », nommant les forces.

Le chef de l'État rwandais estime pour sa part que la force régionale d'Afrique Australe qui a été déployée fin 2023 pour appuyer l'armée congolaise dans l'est de la RDC ne peut pas être considérée comme « une force de maintien de la paix ». Selon lui, sa présence constitue « une menace » pour le Rwanda.

La SAMIDRC « n'est pas une force de maintien de la paix, et n'a pas sa place dans cette situation », a martelé M. Kagame dans un message publié sur X. « Elle a été autorisée par la Sadec en tant que force belligérante engagée dans des opérations de combat offensives pour aider le gouvernement de la RDC à lutter contre son propre peuple, en travaillant aux côtés de groupes armés génocidaires comme les FDLR qui ciblent le Rwanda », a-t-il ajouté.

Paul Kagame a démenti que Pretoria l'ait à cette occasion averti que de nouveaux affrontements dans la région seraient considérés comme une « déclaration de guerre », comme l'ont rapporté plusieurs médias. Mais il a prévenu : « si l'Afrique du Sud préfère la confrontation », le Rwanda peut réagir « à tout moment » en prenant en compte ce « contexte ».

Le président Cyril Ramaphosa avait déjà assuré que « la présence militaire de l'Afrique du Sud dans l'est de la RDC n'est pas une déclaration de guerre contre quelque pays que ce soit ».

La Communauté de développement de l'Afrique australe (Sadec) se réunira vendredi dans la capitale zimbabwéenne Harare pour un sommet extraordinaire sur la situation dans l'est de la République démocratique du Congo, a annoncé jeudi son secrétaire général.

Cette « réunion extraordinaire » vise à « discuter des questions relatives à l'est de la RDC », dont la situation est « préoccupante » après la prise ces derniers jours de Goma, principale ville de la région, par le groupe armé antigouvernemental M23 et les forces rwandaises, a indiqué Elias Magosi.

Peu de détails ont filtré jusque-là sur l'agenda de ce sommet. Le secrétaire exécutif de l'organisation, le Botswanais Elias Magosi est resté évasif, même s'il a admis que l'avenir de la mission de la force d'Afrique Australe (SAMIDRC) ferait l'objet de « délibérations ».

Plusieurs des soldats étrangers, d'Afrique du Sud et du Malawi, tués dans le Nord-Kivu la semaine passée, faisaient partie de la SAMIDRC stationnée près de Goma. Selon la presse sud-africaine, les événements des derniers jours pourraient précipiter un retrait de ces soldats, dont la situation actuelle reste floue.

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Après près de 14 mois de guerre, l’enclave palestinienne est ensevelie sous plus de 42 millions de tonnes de gravats. Avant de reconstruire les habitations, il va falloir renouveler la grande majorité des infrastructures alors que la question du financement n’est pas encore résolue. L'analyse de Xavier Guignard, chercheur associé à Noria Research.

RFI: Quelle va être la première étape de la reconstruction ?

Xavier Guignard: Avant même de reconstruire le bâti, il va falloir rendre possible l’accès au matériel de construction par les routes, elles aussi détruites. De plus, tout le matériel de BTP (Bâtiment et Travaux Publics) qui était disponible à Gaza a été aussi la cible des attaques israéliennes durant les 14 derniers mois. Les camions de déblaiement, les pelleteuses, les tractopelles sont pour la plupart détruits ou endommagés. Il va donc falloir les faire venir par voie terrestre et cela nécessite de pouvoir reconstruire et déblayer les routes. Un travail extrêmement long et essentiel avant d’entamer à proprement parler la reconstruction. Ensuite, cette dernière ne pourra pas être limitée seulement au bâti, car les infrastructures vitales aussi ont été complétement dévastées. Ce sont les deux jambes de la reconstruction, et elles doivent avancer en même temps. Il faut par exemple reconstruire une centrale électrique, des usines de désalinisation pour avoir de l'eau à disposition et tout ça doit être mené de front pour pouvoir avoir un habitat fonctionnel.

Est-ce que les pays qui financent l’aide humanitaire vont aussi payer la reconstruction ?

Au-delà de la question de l'aide humanitaire, il y a bien sûr celle de la reconstruction, qui est chiffrée aujourd'hui entre 100 et 200 milliards de dollars. Aujourd’hui, des pays comme la Jordanie, l’Arabie saoudite ou le Qatar -qui aident Gaza au quotidien- ne se sont pas encore engagés fermement concernant leur participation à la reconstruction. Idem pour les pays occidentaux. Il s’agit de la troisième phase de l’accord de cessez-le-feu, lorsque tous les otages auront été échangés.

À quelles conditions ces pays pourraient-ils conditionner leur aide pour reconstruire Gaza ?

Pour l'instant, on ne connaît pas les détails pratiques qui feront l’objet de négociations. Il y a actuellement une tournée diplomatique américaine dans la région pour aborder le sujet et une poursuite des efforts égyptiens et qataris pour essayer de rendre concret cette question de la reconstruction. Les deux points importants sont à la fois le financement, mais aussi les modalités très concrètes de l’amorce de la reconstruction, à savoir, par exemple : qui vient déblayer, reconstruire, qui finance et avec quelle garantie que ces nouvelles infrastructures restent pérennes ? Pour cela, la première volonté des pays potentiellement bailleurs, qu’ils soient dans la région ou occidentaux, c'est d'inscrire la reconstruction dans un processus politique, c'est-à-dire vers l'avancée d'une solution à deux États.

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Le Parlement pakistanais a adopté, mardi 28 janvier, une loi punissant la désinformation en ligne avec des peines pouvant aller jusqu'à trois ans de prison, une décision dénoncée par des journalistes comme un moyen de réprimer l'opposition.

«J'ai entendu davantage de "oui" que de "non", ainsi la loi est adoptée», a déclaré Syedaal Khan, vice-président du Sénat pakistanais après l'examen du texte.

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submitted 5 months ago* (last edited 5 months ago) by [email protected] to c/[email protected]
 
 

► Des tirs nourris, à la fois d'armes légères, mais également d'artillerie lourde, ont retenti lundi dans le centre de Goma. Des membres des forces spéciales rwandaises et les combattants du groupe M23 ont pénétré la veille au soir dans plusieurs quartiers de la grande ville de l'est de la République démocratique du Congo (RDC). Au moins 17 personnes sont mortes et 370 sont blessées, selon des sources hospitalières.

► Le groupe armé antigouvernemental du M23, soutenu par quelque 3 000 à 4 000 soldats rwandais, selon l'ONU, combat l'armée congolaise dans la région depuis plus de trois ans, mais l'étau s'est resserré ces derniers jours

► Après une réunion d'urgence dimanche soir, le Conseil de sécurité de l'ONU a condamné le « mépris éhonté » de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de la RDC. Kinshasa a réclamé des sanctions contre Kigali. Le chef de l'ONU a demandé au Rwanda « à cesser de soutenir le M23 et à se retirer du territoire de la RDC ».

► Un sommet extraordinaire de la Communauté des États d'Afrique de l'Est (EAC) dédié à la situation chaotique dans l'est de la RDC aura lieu mercredi 29 janvier. Selon le président kényan, qui assure la tête de l'organisation régionale, « à la fois le président Paul Kagame et le président Félix Tshisekedi » ont « confirmé leur participation ». Les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne sont réunis à Bruxelles et la situation en RDC fait partie des dossiers à l'ordre du jour.

► La ville de Goma compte environ un million d'habitants et autant de déplacés. La région vit une crise humanitaire chronique depuis des très nombreuses années.

Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a condamné dans la nuit l'assaut sur Goma du groupe armé M23, soutenu par des troupes rwandaises, et affirmé la souveraineté de la République démocratique du Congo (RDC), dans un appel téléphonique à son président Félix Tshisekedi. « Le secrétaire d'État Marco Rubio a condamné l'assaut sur Goma du M23, (groupe) soutenu par le Rwanda, et affirmé le respect des États-Unis pour la souveraineté de la RDC », a déclaré la porte-parole du département d'Etat Tammy Bruce dans un communiqué.

Dans la soirée, la présidence sud-africaine annonce que le président Cyril Ramaphosa a eu un entretien téléphonique avec son homologue rwandais Paul Kagame pour discuter de la situation dans l'est de la RDC où des soldats sud-africains sont morts. « Les deux chefs d'État ont convenu du besoin urgent d'un cessez-le-feu et de la reprise des pourparlers de paix par toutes les parties au conflit », pointe la présidence sur X.

Dans la journée de ce lundi, des milliers de personnes composées des membres des organisations de la société civile et les agents de l’administration publique ont manifesté leur colère lundi à Bukavu dans la province du Sud-Kivu pour dire non à la guerre du M23 soutenu par le Rwanda. Elles ont répondu à l’appel de la société civile et du gouverneur du Sud-Kivu pour s’indigner de la guerre mais aussi encourager les forces armées de la RDC à récupérer la ville de Goma et toutes les entités déjà occupées par le M23 au Nord et au Sud-Kivu.

« Trop c’est trop ! Ça fait longtemps que le Rwanda nous agresse et donc nous sommes fatigués, lance Pierre Mambo, un manifestant au micro de notre correspondant à Bukavu, William Basimike. Et il faut dire à Kagame d'arrêter parce qu’aujourd’hui la guerre c’est au Congo, demain ça peut tourner mal chez lui. » Sur des calicots on pouvait lire des messages : « Nous voulons la paix », « Non à la guerre » ou encore « M23 dégage ! ».

Maitre Néné Bintu est la présidente de la société civile du Sud-Kivu, c’est elle qui lit le document de revendication qui s’adresse directement à la communauté internationale : « Bukavu court un grand danger d'être attaqué prochainement si rien n’est fait ! La société civile recommande au Conseil de sécurité de l’ONU d’imposer la paix à travers une résolution contraignante sanctionnant le pays agresseur le Rwanda. »

Ce soir, le président Félix Tshisekedi a convoqué une réunion inter-institutionnelle à Kinshasa, à la Cité de l’Union Africaine avec le président du Sénat, la Première ministre, le président de l'Assemblée nationale et le procureur général près de la cour de cassation. Cette réunion avait pour but d'évaluer la situation dans l'est de la RDC et à Goma. « Nos militaires et les Wazalendo continuent à tenir certaines positions dans la ville », affirme le président de l'Assemblée nationale, Vital Kamerhe, devant la presse après cette réunion.

Il continue en expliquant que durant cette réunion, ils ont « exploré la voie de sortie de crise qui intègre le volet politique et volet diplomatique ». Vital Kamerhe précise enfin que le président Félix Tshisekedi s'adressera à la Nation.

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Près de trois mois après les inondations dans la région de Valence qui ont causé 224 morts, les familles des victimes s'organisent et préparent des plaintes contre les représentants des administrations publiques. Ce dimanche 26 janvier, elles se sont réunies avec leurs avocats.

Trois mois après les inondations, la colère n'est pas retombée à Valence. Mais elle a uni près de 200 proches de victimes dans une association qui réclame justice. Rosa María Álvarez a perdu son père, Manuel : « Depuis le début, je pense que mon père n'est pas mort "naturellement". Je dis toujours : "il n'est pas mort. On l'a tué". Et comme pour chaque homicide, il faut réclamer justice. »

Une plainte pour « homicide involontaire » va donc être déposée contre notamment Carlos Mazon, le président de la région de Valence. Sonia Fuster, dont le père Ernesto est mort, explique : « Quand l'urgence a été activée, il n'était pas là. Il est parti à un repas ! Il a manqué les heures décisives et critiques de prises de décisions. »

Une procédure qui risque d'être longue et laborieuse, mais nécessaire pour Encarna Martínez dont le frère José a été emporté : « Ça sera très difficile mais au moins, je mourrai en me disant que j'ai essayé de faire quelque chose, que j'ai avancé et j'irai le plus loin possible. » Dans la région, 224 corps ont été retrouvés et trois sont toujours disparus.

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L’Inde a annoncé lundi 27 janvier un accord avec la Chine pour reprendre les vols directs entre les deux pays, près de cinq ans après leur interruption en raison de la pandémie mondiale de Covid-19 et de tensions diplomatiques.

Une visite d’un haut représentant de l’Inde à Pékin a abouti à un accord « de principe sur la reprise des liaisons aériennes directes entre les deux pays », selon un communiqué du ministère indien des Affaires étrangères.

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