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Le week-end, sous le pseudo de @biscuit@kbin.melroy.org je posterais un peu de culture, histoire de faire une pause sur l'actualité internationale. :)

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founded 2 years ago
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Bordel... cette oeuvre d'art funèbre aérienne... "j'aurais pas fait mieux", dit le conférencier.

  1. Analyse de la trajectoire du vol MH370, Patrick Blelly & Jean Luc Marchand & simulations

https://video.ploud.jp/w/8pBGncQHf3d1Ltizeczv3w (FR) https://video.ploud.jp/w/wAUCnXVB51ixoqhSVyUbaf (EN)

https://www.youtube.com/watch?v=PeJMqo-g8xs (FR) https://www.youtube.com/watch?v=CjjySxoo_AQ (EN)

La conf, ça nous apprends pas mal de petites choses, entre :

-le premier virage serré en 2'10 pour éviter la zone militaire Thaïlandaise (22'20)

-le portable du pilote qui a borné à penyang, donc après igari (40'35)

-le pilote a remis le courant (donc il a été éteint) (52'10)

-approcher l'Indonésie en furtif, c'est risquer de se faire identifier (52'30)

-l'avion d'une autre compagnie (Indigo 6E53), qui lui arrivait pile d'en face, dans l'autre sens (route N571), qui explique pourquoi le MH est descendu sous la barre des 27000 pieds (55'22)

-le coup de fil de la Malaysian airlines, au téléphone satellite de l'équipage (alors au large de de Sumatra), dont les échanges d'inmarsat prouvent que le tel à bord a bien reçu (et sonné) la tonalité d'appel, malgré que l'appel reste sans réponse (1'13'20)

J'admets pas avoir regardé le rapport de l'enquete officielle, mais il est vrai que ça chamboule un peu le jeu, surtout les autres théories, à mon sens

Je sais pas si les médias le savaient, bien que ces trois infos (capitales à mon sens) sont passées trop inaperçues

  1. Ocean infinity va p-e relancer les recherches cette année ou l'an prochain, et si ils cherchent aux nouvelles indications, je ne vois pas comment ils pourraient ne pas trouver :

https://video.ploud.jp/w/u1MVS2RR1XBSb4xhii5WhM

https://www.youtube.com/watch?v=cOIJ5ZSzt04

Une compilation des vidéos du MH :

https://video.ploud.jp/c/mh370/

Malheureusement, aucune observation des conférenciers sur les boites noires (pas à l'ordre du jour), qui seront sans doute malheureusement d'aucune utilité pour le CVR.

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Pour compléter l'enquête de deux français, à recommander :

https://jlai.lu/post/15775304

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https://denmarkification.com/#proca_Petition

a réponse du berger à la bergère. Une pétition danoise a été lancée pour que le royaume du Danemark achète l'État de Californie. Cette initiative fait suite à la volonté de Donald Trump de prendre le contrôle du Groenland. « Vous est-il déjà arrivé de regarder une carte et de vous dire : “Vous savez de quoi le Danemark a besoin ? Plus de soleil, de palmiers et de patins à roulettes”, interroge la pétition avec humour. Eh bien, nous avons une occasion unique de faire de ce rêve une réalité. » Ainsi, Los Angeles pourrait être rebaptisée Løs Ångeles, et Disneyland sera renommé Hans Christian Andersenland en l'honneur du célèbre auteur de contes de fées. L'engouement est au rendez-vous puisque, ce samedi 15 février, plus de 256 000 des 500 000 signatures visées ont été recueillies. Pragmatiques, les fondateurs de la pétition ont déjà pensé au budget nécessaire pour y parvenir. Celui-ci est estimé à 1 000 milliards de dollars. Ils proposent donc de lancer un financement participatif et demandent à chaque Danois d'investir 200 000 couronnes (soit environ 26 800 euros). Les cadres de Lego comme négociateurs

« Il est dans l'intérêt national de promouvoir l'extraordinaire héritage de notre nation, de sorte que la Californie deviendra le Nouveau Danemark », ajoutent-ils avec humour. Face au président américain, les meilleurs négociateurs danois seront envoyés pour réaliser ce deal, à savoir… les cadres de Lego. Ils assurent même que « Donald Trump [n'étant] pas vraiment le plus grand fan de la Californie », celui-ci pourrait plier facilement. « Nous sommes presque sûrs qu'il serait prêt à s'en séparer pour un bon prix. Et nous lui offrirons même des pâtisseries danoises à vie pour adoucir l'affaire », est-il écrit.

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C'est une réussite, plus de productivité, meilleure santé mentale...

Je pense ne pas trop m'avancer en disant qu'on veut la même chose.

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Article incomplet, désolé -_-

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Pour le chef de l’État rwandais Paul Kagame, le président sud-africain Cyril Ramaphosa et des officiels sud-africains « tordent la réalité », « lancent des attaques délibérées » et « mentent ». Le président rwandais a haussé le ton face aux remarques de l’Afrique du Sud au sujet de la crise dans l’est de la République démocratique du Congo, où le groupe armé M23 et leurs alliés des forces rwandaises ont pris position dans de nombreux quartiers de la ville de Goma.

Des remarques fortes de Paul Kagame, prononcées mercredi 29 janvier, après un sommet virtuel de la Communauté d'Afrique de l'Est (EAC), organisé par le président kényan William Ruto depuis le Caire. Le président congolais Félix Tshisekedi n'y a pas participé.

Les présidents rwandais Paul Kagame et sud-africain Cyril Ramaphosa ont beau se parler deux fois au téléphone depuis le début de la semaine, les relations diplomatiques entre le Rwanda et l'Afrique du Sud semblent toujours aussi tendues.

Dans un tweet publié mercredi soir, Cyril Ramaphosa est notamment revenu sur la mort de 13 soldats sud-africains membres de la force régional d'Afrique australe (SAMIRDC) en RDC. Il attribue leur mort « à une escalade de la violence entre le groupe rebelle M23 et la milice des forces de défense rwandaises, engagées contre l'armée congolaise (FARDC) ».

La terminologie a exaspéré Paul Kagame : « Les forces de défenses rwandaises ne sont pas une milice, c'est une armée », a-t-il répondu sur X. Et de poursuivre : « Ce n'est pas le M23 qui a tué ces soldats sud-africains, mais les FARDC », nommant les forces.

Le chef de l'État rwandais estime pour sa part que la force régionale d'Afrique Australe qui a été déployée fin 2023 pour appuyer l'armée congolaise dans l'est de la RDC ne peut pas être considérée comme « une force de maintien de la paix ». Selon lui, sa présence constitue « une menace » pour le Rwanda.

La SAMIDRC « n'est pas une force de maintien de la paix, et n'a pas sa place dans cette situation », a martelé M. Kagame dans un message publié sur X. « Elle a été autorisée par la Sadec en tant que force belligérante engagée dans des opérations de combat offensives pour aider le gouvernement de la RDC à lutter contre son propre peuple, en travaillant aux côtés de groupes armés génocidaires comme les FDLR qui ciblent le Rwanda », a-t-il ajouté.

Paul Kagame a démenti que Pretoria l'ait à cette occasion averti que de nouveaux affrontements dans la région seraient considérés comme une « déclaration de guerre », comme l'ont rapporté plusieurs médias. Mais il a prévenu : « si l'Afrique du Sud préfère la confrontation », le Rwanda peut réagir « à tout moment » en prenant en compte ce « contexte ».

Le président Cyril Ramaphosa avait déjà assuré que « la présence militaire de l'Afrique du Sud dans l'est de la RDC n'est pas une déclaration de guerre contre quelque pays que ce soit ».

La Communauté de développement de l'Afrique australe (Sadec) se réunira vendredi dans la capitale zimbabwéenne Harare pour un sommet extraordinaire sur la situation dans l'est de la République démocratique du Congo, a annoncé jeudi son secrétaire général.

Cette « réunion extraordinaire » vise à « discuter des questions relatives à l'est de la RDC », dont la situation est « préoccupante » après la prise ces derniers jours de Goma, principale ville de la région, par le groupe armé antigouvernemental M23 et les forces rwandaises, a indiqué Elias Magosi.

Peu de détails ont filtré jusque-là sur l'agenda de ce sommet. Le secrétaire exécutif de l'organisation, le Botswanais Elias Magosi est resté évasif, même s'il a admis que l'avenir de la mission de la force d'Afrique Australe (SAMIDRC) ferait l'objet de « délibérations ».

Plusieurs des soldats étrangers, d'Afrique du Sud et du Malawi, tués dans le Nord-Kivu la semaine passée, faisaient partie de la SAMIDRC stationnée près de Goma. Selon la presse sud-africaine, les événements des derniers jours pourraient précipiter un retrait de ces soldats, dont la situation actuelle reste floue.

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Après près de 14 mois de guerre, l’enclave palestinienne est ensevelie sous plus de 42 millions de tonnes de gravats. Avant de reconstruire les habitations, il va falloir renouveler la grande majorité des infrastructures alors que la question du financement n’est pas encore résolue. L'analyse de Xavier Guignard, chercheur associé à Noria Research.

RFI: Quelle va être la première étape de la reconstruction ?

Xavier Guignard: Avant même de reconstruire le bâti, il va falloir rendre possible l’accès au matériel de construction par les routes, elles aussi détruites. De plus, tout le matériel de BTP (Bâtiment et Travaux Publics) qui était disponible à Gaza a été aussi la cible des attaques israéliennes durant les 14 derniers mois. Les camions de déblaiement, les pelleteuses, les tractopelles sont pour la plupart détruits ou endommagés. Il va donc falloir les faire venir par voie terrestre et cela nécessite de pouvoir reconstruire et déblayer les routes. Un travail extrêmement long et essentiel avant d’entamer à proprement parler la reconstruction. Ensuite, cette dernière ne pourra pas être limitée seulement au bâti, car les infrastructures vitales aussi ont été complétement dévastées. Ce sont les deux jambes de la reconstruction, et elles doivent avancer en même temps. Il faut par exemple reconstruire une centrale électrique, des usines de désalinisation pour avoir de l'eau à disposition et tout ça doit être mené de front pour pouvoir avoir un habitat fonctionnel.

Est-ce que les pays qui financent l’aide humanitaire vont aussi payer la reconstruction ?

Au-delà de la question de l'aide humanitaire, il y a bien sûr celle de la reconstruction, qui est chiffrée aujourd'hui entre 100 et 200 milliards de dollars. Aujourd’hui, des pays comme la Jordanie, l’Arabie saoudite ou le Qatar -qui aident Gaza au quotidien- ne se sont pas encore engagés fermement concernant leur participation à la reconstruction. Idem pour les pays occidentaux. Il s’agit de la troisième phase de l’accord de cessez-le-feu, lorsque tous les otages auront été échangés.

À quelles conditions ces pays pourraient-ils conditionner leur aide pour reconstruire Gaza ?

Pour l'instant, on ne connaît pas les détails pratiques qui feront l’objet de négociations. Il y a actuellement une tournée diplomatique américaine dans la région pour aborder le sujet et une poursuite des efforts égyptiens et qataris pour essayer de rendre concret cette question de la reconstruction. Les deux points importants sont à la fois le financement, mais aussi les modalités très concrètes de l’amorce de la reconstruction, à savoir, par exemple : qui vient déblayer, reconstruire, qui finance et avec quelle garantie que ces nouvelles infrastructures restent pérennes ? Pour cela, la première volonté des pays potentiellement bailleurs, qu’ils soient dans la région ou occidentaux, c'est d'inscrire la reconstruction dans un processus politique, c'est-à-dire vers l'avancée d'une solution à deux États.

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